Régie Philippe BAILLIJ, Nicolas TAILLER, Marcel JORDENS, Cédric JACOB |
Décors Pierre MALHERBE, Jean POLUS, Louis DEWEZ, Yves PURNODE, Alain TONNEAUX |
A propos d' »Ène boune idèye »A la mort de ses parents, Eulalie Pierrefonds a dû assumer la direction du home qu’ils avaient installé dans un ancien château. Bien vite Pino, quasiment adopté quand il était jeune, était revenu pour l’aider. Il est devenu l’homme à tout faire. Elle est amoureuse de lui depuis leur enfance. Un peu plus tard, Richard, frère de Lalie, a fait sa réapparition après plus de vingt ans d’absence et diverses tribulations dans la légion étrangère et en Afrique. Mais les pensionnaires se font rare et l’argent manque. Pour le trouver, Richard a eu successivement différentes « bounès idèyes », qui ont toutes échoué l’une après l’autre. Lalie, elle, a dû se séparer de plusieurs employés : à côté de Pino, qui reste à son service sans être payé, il ne reste plus que la fidèle Dèdèle. Et ce n’est pas l’arrivée de deux nouveaux pensionnaires, l’abbé Bacchus et tante Zidore, qui pourra renflouer les caisses. Quand l’action commence, la faillite menace. Puis surviennent les ennuis. Ils prennent la forme d’un vérificateur du fisc, suivi d’un inspecteur des homes : Richard, qui a falsifié les registres, est obligé de se débarrasser des importuns d’une manière pour le moins originale… Entretemps, une troupe de jeunes comédiens ambulants a demandé l’hospitalité au château « d’èl Richardière » – c’est le nom que les parents de Lalie avaient donné à leur domaine. Lalie les accueille chaleureusement, elle qui a toujours rêvé de faire du théâtre. Enfin Richard a une nouvelle idée, ouvrir un hôpital ! Sera-t-elle la « boune idèye » qui les rendra riches et permettra de sauver l’affaire de famille ? Après de nouveaux rebondissements, l’histoire connaîtra une fin heureuse, en chanson : « dins no bia pa-ys walon, tout finit pa des tchansons ! ». |